ni majuscule, ni point
Mon coup de coeur de la Quinzaine de la photographie revient à Lionel Pralus. (En même temps il faut dire que j'ai juste eu le temps d'aller à L'atelier et au LU.) Je trouve beau la façon dont, de prime abord, une simple photographie devient plus lue que vue. Le paysage devient support, le support d'un texte bien plus personnel encore. Une histoire de famille. Alors on marche, on se penche, on part en diagonale, on lève la tête, on se baisse parfois. Et la photographie devient moindre. A mes yeux en tout cas, elle l'est devenue. On regarde les autres déambuler, on les voit dans des postures insolites. Et un jeu se dessine entre l'oeuvre, la lumière et le regard. On ne comprend pas tout, mais on essaie, on oublie souvent aussi vite. Et la curiosité (parce que c'est ça qui nous pousse) nous dévoile un rapport beaucoup plus intime avec l'artiste.
(mais déjà Blogspot fait la gueule, alors je rajouterai mes essais photographique demain.)
(mais déjà Blogspot fait la gueule, alors je rajouterai mes essais photographique demain.)