26/10/2011

comme un arrière goût de vodka/pastis.

ça ne colle plus du tout. Entre moi et cet endroit. Je ne sais plus écrire, rien que des conneries. Ca me fatigue, d'écrire et encore plus de me relire. Mon inspiration est comme bouffée par les réalités. Etouffée par le changement ou l'habituel. Je ne sais pas trop à vrai dire. J'aime beaucoup cet ici, ce qu'il a représenté pendant longtemps, sa couleur. Je l'aime toujours. Mais j'en fais n'importe quoi. 
Donc je préfère faire un break, un vrai, ou un départ. On verra bien. 

A U     R E  V OI R.
merci

19/10/2011

DOORWAY!








m'endormir
dans un soupir
dans la nuit noire
dans ma baignoire





Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Mais il y a eu cette chose, ce truc, ce je ne sais quoi, cet innommable.
Je ne sais toujours pas comment et si c'est de vieillir qui me fait ça. C'est comme un manque, être sous vide. Toujours sous réserve. Alors parfois je ris à l’intérieur et je me dis qu'il fait meilleur. Ça arrive parfois autour d'un café, de quelques idées. Je me dis c'est quoi le bonheur. C'est l'histoire d'un moment. Jusqu'au plus petit moment. C'est se perdre dans la ville -dans la vie-, c'est rencontrer ses voisines, c'est boire le thé. C'est un sentiment profond qui ressort à la finale. Qui dure un peu. Mais qui résiste trop peu. Illusoire, le coeur joyeux de 3heures 27. Il se meurt au petit matin, aussi faible qu'un nouveau né. Vivant comme anesthésiée je ne sais plus trop à quoi me fier. A qui. Pourquoi faire. Je me souviens de bras levés, de regards balancés en douce, d'intrusions à l'air amicale, de début et de fin de conversations. Mais pas des milieux. Les milieux, c'est bien connu, ne servent à rien de particulier. Rien qu'à décorer. vanité