Le bordel écrit, c'est le genre de truc qu'on veut caser. Mais qui mérite pas sa place dans un article. Alors j'insère ici un gros melting-pot de pensées, de trucs, de n'importe quoi. A l'arrache, à l'intuition. Servi chaud ou froid, tout ce que vous voudrez et/ou que vous ne voudrez pas.
Et puis d'ailleurs, vous êtes Français j'espère.
T’as mis ton pull à l’envers de l’envers. // Le principe c’est de te nourrir à la connerie. Le matin, le midi, le soir. Et même entre les repas. En entrée, en plat, et en dessert. Jusqu’à plus soif. // J’ai pas été une très bonne amie vers la fin. // "C’est quoi l’amimour ? - Du plus que de l’amitié, pas de l’amour. Une sorte de truc privilégié qu’on entretien avec personne d’autre que cette seule personne." // J’aime bien nos mots qui servent à rien parfois // TR: "Tu as eu du culot, c'est bien, c'est tout à fait ce qu'il fallait. Les mots sont justes, vous ne pouvez plus lutter et il est sur le cul sans savoir quoi dire. J'ai l'impression que pour la première fois il ne contrôle plus." // On nous avait formaté à aimer un genre dans le genre. // Allez viens, on mangera des Weetos devant la télé. Sans les figurines "chat" qu'on gagnait autrefois. // Je ne crois pas que ça puisse attendre, c'est quelque chose d'immédiat. INSTANTANÉ. NOUS NE LE SOMMES PAS? // Je te promets que si tu pars, je m'en vais. // Il fait bon aujourd'hui, 28. Il est 1h58, le 29.// Les suites logiques très peu pour moi. // J'aurai pu vous filer la claque la plus grosse de toute vôtre vie. //Bonjour, je t'envoie valser. // Je suis pas l'hôpital et t'es pas la charité. // Je suis l'auteur de tes déshabitudes, de tes inaptitudes, de tes incertitudes. // Il y a partir, et partir. // L'intisfaction chronique c'est réussir et croire qu'on a de la chance, c'est chercher quelque chose de plus, c'est se vouloir idéal, se miner la confiance. L'insatisfait se créé l'insatisfaction, en tout et pour tout. // Et je ris, putain. Je ris pour des détails. Tes détails à toi qui me font rire et te rendent beau. // PRENDRE DES RISQUES, C'EST PERDRE PARFOIS. NE PAS EN PRENDRE, C'EST PERDRE TOUJOURS. // C'est con parce que j't aimais bien au final. Puis tu le sais pas, mais j'ai pas l'habitude d'aimer n'importe qui. Parce que ouai, t'aurais pu être n'importe qui. // Vous savez, ce moment où vous regardez ce qu'il reste et que vous vous dites "Mais merde, il fut un temps où." // TIENS! PREND ÇA, ÇA PUIS ÇA AUSSI. ET ÇA? C'EST POUR TOUT CE QUE TU NE FAIS PAS.// Merci pour le coup de pied au cul. Merci de me rendre la part des choses alors que ça va mal. Merci d'être là quand j'en ai envie et pas, de m'écouter dans mes soirées où mes sentiments sont multipliés par mille. De ne pas me bercer de réponses préfabriquées à base de "t'en fais pas" mais de me dire cette vérité qui est "Tu as beaucoup, et tu ne sais pas t'en contenter." Ça me fait du bien je pense. La vérité fait du bien parfois. Et puis t'es quelqu'un de bien, aussi.// "Je ne suis pas forte. La force c'est de savoir être humain, fragile, sensible, réactif émotionnellement. Moi je suis un frigo. "// J'aimerai parfois être toi pour savoir ce que ça fait quand on m'aime.// Je veux dire, un peu plus que moi même.// Le contraire de l'amour c'est pas la haine, ce serait être crédule que de croire à une insanité pareille.// J'aime l'idée de se choisir un prénom, de se construire une identité pas indépendante mais presque de la nôtre. Vous pouvez donc m’appeler Madeleine, je vous appellerai comme bon vous semble.// Je ne suis pas dans ton monde, je suis dans le monde de personne. Et personne n'est en aucun cas une façon de parler d'un quelconque Ulysse.// Nous aurions pu être deux tout à fait inconnus. Et se croiser au détour d'une rue, sans broncher. C'est bizarre comme c'est fait, ça aurait pu c'est vrai.// ÉTEIGNEZ-MOI LES JÉRÉMIADES.// Il n'y a vraiment rien à dire quand il n'y a rien.// Et si on s'aimait? - D'accord mais pas trop fort alors, et en noir et blanc seulement.//Alors, on fait le mort? - C'est toi la morte. - Non, je te dis Bonjour et tu me réponds plus. - Je fais tout pareil.// C'est comme, révéler le synopsis en sachant pertinemment qu'on l'utilisera jamais, en fait.// Quand je dis quelque chose, je le pense toujours sur le moment. Mais c'est une histoire de moment aussi.// On est les anti-héros du film de nos propre vies, et c'est ça qui perturbe.// Il y a un moment où l'on se retrouve bloqué, c'est forcé. Entre deux choix, deux choix qu'on ne sait choisir. Parce que l'un comme l'autre ils ne nous conviennent pas. Alors il faut se faire violence. // C'est beau la pluie sans parapluie, et les gens dans les bagnoles qui vous plaignent sans savoir. // Il est venu, il m'a regardé, il s'est approché de la radio et m'a dit "Quelle idée t'as eu aussi - de mettre cette musique, c'est d'un tragique... C'est d'un tragique." Alors il a éteint avec pour seul fond sonore plus que les rires mêlés aux sanglots.// Du tout, au rien. De la folie au pas du tout.// C'est le pied.// Derrière toutes portes, il y a un homme.// Il faudrait rire de moi une bonne fois. Comme ça, sans grande raison. Parce que c'est drôle.// Est ce que ce serait être faible d'appuyer sur la petite croix?// J'ai arrêté de tuer les arbres le jour où tu es devenu un salaud fini. Depuis, l'arbre est tué à moitié et les autres vivent toujours pareil.// Ça voulait surtout dire: "Regarde un peu, tu sais, t'avais promis hein. Regarde bien comme je te renvois ça, c'est joliment fait.", J'aurai pu répondre tout aussi subtilement: "Tu sais mon bouclier c'est du puissance 3000."// T'es le livre ouvert qu'on voudrait bien pouvoir fermer quelque fois.// On ne peut suivre quelqu'un par devant que si on a des yeux derrière la tête.// La neige, c'est un état d'esprit// Je m'y refuse mais au fond j'ai tellement besoin de ça. Le mec qui a inventé les archives, c'était le roi des nazes. C'est pas cool de retomber sur ces trucs quand on fait tout pour se sortir du passé.// Vous êtes un type très beau.// Cette nuit j'ai rêvé d'un cauchemar, je me suis réveillée et j'ai pleuré Ça me renvoyait à cette condition que je voilais depuis quelques mois. Ça me montrait comme ça aurait pu être pire, moi je voulais seulement que ça aille mieux avec ou sans présence.// Des bouts de ville, du sirop à la barbe à papa, une carte postale et un petit cookie. Il fait bon. //Un crayon et un carnet, pour me suivre partout, pour tout écrire sans réfléchir. // Il m'arrive un truc et je crois bien que ça me fait du bien. // J'ai pas envie de m'attacher a toi, parce que mes attachants inconnus se cassent un par un. m'abandonnent. Volontairement, involontairement. J'ai plus envie d'aimer des gens. Je préfère aimer la vie, nue, déserte. Les gens en général. Parce que j'ai pas assez d'amour pour les aimer tous, parce que c'est plus facile de les perdre. Ca n'a pas d'impact. J'ai pas envie de risques. Le risque c'est bien le temps d'un moment, fugace. Et puis après ça me bouffe, lentement, longuement. J'ai pas envie de panser, je me voudrai être une pierre calfeutrée. // Tu peux pas me dire que j'étais pas prévue. // Mes nuits rêvées sont des vies détaillées. Réunion d'absurdité, de réalisme, de contextes plus ou moins logique. Cette nuit j'ai vécu une vie rêvée. //Y a jamais d'amour, rien que des idéalisations. // Mais c'est un mauvais garçon. //Je prend soin de m'attacher a celui qui peut me faire le plus de mal. Ca me fait vibrer. //