30/04/2010

T'ES BEAU.

et je lui jettais ce petit regard en coin, comme on fait quelque fois.

 Tant pis, ce sera pour l'année d'après sinon. 
 Mais c'était bien.

I l  y a  d a n s  t o u s   m e s s a g e s ,  u n  m e s s a g e   c a c h é.

Un ascensceur, un pote, une attente, des retardataires, des absents, des hésitations, des doutes, un face à face avec soi même, avec les autres, un regard en coin, une feuille de vigne, un transparent, une confontration, des mots qui coincent, une timidité qu'on ne devrait pas se permettre, un bonjour, une bonne journée, on dévisage. 

 

26/04/2010

Note à moi même: les cousins qui grattent aux murs font l'effet d'araignées se balladant sur du papier journal.

 
Note à moi même: Se réveiller à 6h30 c'est toujours mieux que 5h50.

TU M'INSPIRES. 

A D I E U. 

25/04/2010

CECI EST UN ENGRENAGE. (allez dégage)

the dodos - fools 

Souvenir d'une nuit: Hématomes.

Alors on s'est dit "A dans 90 jours", et 90 jours plustard ça allait mieux. ou peut être pas. J'avais décidé d'ici là, de rayer toute sorte de vie sociale, j'étais tellement bien partie que plus rien ne pouvait m'en empêcher. C'était ça sinon crever de jalousie dans mon coin. Et je me disais que si je faisais tout cela d'une traite, ça paierait sûrement par la suite. Tout le monde se disait que j'avais bien raison, excepté ceux qui criaient dans leurs barbes (autant dire qu'ils étaient en inferiorité numérique). Moi je ne sais pas où j'étais, qui j'étais dans tout ça. Je devais être une machine, mais pas tout à fait puisque j'avais la peur en plus. Et les machines n'ont pas peur, elles. Alors j'étais sûrement le pire de chacun, et je détestais ça. Il n'y avait aucun effort à fournir jusque là, juste travailler, et dans 90 jours ça irait comme ça ne l'avait jamais été. J'en étais presque convaincue. Peut être pas parce que tu serais là, mais du moins parce que j'en serai là. Et c'était quitte ou double.

23/04/2010

Il fait beau, et j'ai envie de crier.

Girl i've never loved one like you.

Voilà un truc qui me donne envie de siffler, de faire des mouvements débile toute seule dans ma chambre et de m'essayer à chanter. (et en fait quand j'y pense c'est déjà fait) Une chanson qui me donnerait presque envie de dire que la vie c'est tiptoptropkikoololwoa (mais n'exagérons rien). Mon père se moque encore de moi à écouter de telles chansons, et à siffler tout le temps. Je m'en fout de toute façon, il fait beau, personne m'emmerde. Les dissert', les tournages et montage de films sont finis reste plus que l'ultime dossier. Je dors encore mal la nuit, mais ça c'est le temps qui fait ça. Tiens, et puis voilà je vais mettre une connerie parce que j'en ai envie.


ALLEZ VIENS, RESTES PAS LA. TA GRAND MERE S'EN IRA. ON S'EN FOUT. ON L'AIME PAS.

18/04/2010

Souffle neige.




   Tout ce que je voudrais pour ce soir, c'est me poser sur le canapé. Mon pull vert à l'envers, ou à l'endroit mais toujours aussi chaud. La couette qui gratte, mon chat sur le côté qui joue, qui s'aggrippe à la couette en polaire ou alors avoir une peluche sous le bras à malaxer. Regarder un film débile, ou ce téléfilm là avec la fille qui rate sa vie tout le temps et qui me fait bien rire aussi. Avoir les pieds au chaud, mais sentir qu'il fait froid dehors et finir par s'endormir sur un fond de musique un peu trop fort.

11/04/2010

Il n'y a plus de vacances, mais juste assez pour trop penser.

Parfois je suis pathétique.
Parfois tu es pathétique.
Parfois il est pathétique.
Parfois nous sommes pathétiques.
Parfois vous êtes pathétiques.
Parfois ils sont pathétiques.

10/04/2010

Une histoire de cheveux.

 

On dit que lorsqu’on rencontre l’amour de sa vie, le temps s’arrête. Et bien c’est vrai... Ce que l’on ne vous dit pas, c’est que quand le temps reprend son cours, il file à une vitesse folle pour rattraper son retard.

Big Fish. 

04/04/2010

6669 (I don't know if you know)





 Il m'arrive de ressortir les vieilles photos.

Le beau temps revient, l'esprit s'égare. Je n'fais plus rien du tout pour un jour. Juste je déniche une vieille jupe toute jolie qui me colle le sourire. Je traine, vernis mes doigts, repense à ce rêve, écoute Neon Indian, prépare un stratagème. Le papier pourri gondole, ça ne donne rien. Je me rappelle ce tête à tête avec un Teletubbies, Tinkie Winkie.  Je mange les lapins Lindt trouvés dans le jardin les uns après les autres, sans pitié. Trouve une nouvelle tenue pour le concert, repense à ce rêve qui encombre un peu trop ma tête (tu). Et j'aime un peu ça quelque fois. Je suis pas trop sûre, j'ai un peu peur, je me rassure. Le porte monnaie est vide, les piles sont vides, ma tête est pleine. J'ai mal à la tête. Ca empeste le dissolvant. J'attend le 6, puis le 9. Mais pas le reste.

01/04/2010

Le goût du schéma répétitif.

Les pulsations de nos coeurs jouent à la corde à sauter.

ALLEZ SAVOIR POURQUOI.

JE T'ETREINS, TU T'ETEINT.