26/02/2011

Le thé libanais, c'est brûlant.

Mon appartement est vraiment sans dessus/dessous. Le matelas pour invité traîne sur le sol. Et ce qui avait le dont de (ces derniers temps) me mettre hors de moi: n'est plus. Je n'ai plus aucune notion du temps, il faut dire qu'on squatte un peu partout et qu'on se retrouve toujours chez nous, au réveil. L'ambiance moite domine, mais toi je sais que tu n'es pas de ces gens là. Il y a quelque chose de solidaire qui fait que je vous aime beaucoup et qui me fait aimer la surprise, aussi. Je rêve d'une vérité, de quelque chose qui me fait peur, ou d'une gloire précise. Il est 19h, on me réveille. Je m'étais endormie tout habillée. "Allez viens." Alors je vais fatiguée par un matin noir. Et puis il fait chaud ici, il fait beau et c'est heureux. Hier encore c'était chaleureux on rencontrait les voisins, les douches habillées et en chaussures, tes amis et 5 bouts de maison. On embrassait les miroirs, on se faisait indiens et des tatouages au henné. Je crois bien qu'on était ridicule, mais ça importe peu.

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