1991, une année que je n'ai pas vécue, tourne en boucle. J'ai des frissons car/et il fait toujours trop froid ici. Mon nez me pique et je me sens vide. L'existence, morne, des soirs de dimanche m'emplit pour la énième fois. J'ai le cafard et une sous-estime qui se confine à l'intérieur. La dégueulasse mise au point de mon objectif me laisse insatisfaite, tant dis que tout un tas d'idées me viennent à l'esprit. Je vais sans doute finir par trouver insupportable les enfantillages, mon poids et mon voisin. Je voudrais bien qu'on m'envoie très loin
avec ou sans bagage à main.
20/02/2011
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