être hermétique.

T'es la personnification même du changement, c'est pas ta faute. C'est pas la mienne. C'est les circonstances et les situations qui font que. Mais toi je t'aime bien. Quand t'es là, c'est bête à dire mais je fais pas gaffe. Et puis, quand tu pars, y a comme un vide. T'es la tornade, sans faire exprès. Tu marques une année à chérir, une année à détruire, une passe de tournant, un tournant, ce qui a changé. Ce que je suis, ce que je ne suis plus, et puis peut être aussi ce que je n'ai jamais été.

JE SUIS UN ELECTRON LIBRE.

Mon corps me tient tête me fait souvent l'affront de tourner les talons de partir a l'aveuglette. Ce soir il se prête au rythme cadencé des villes en fêtes sous les néons bleutés ,pollués ,veloutés. Dans la chaleur des nuits de pleine lune, insomnie, envoûtante. Dans la chaleur des nuits de pleines lune. Sous le regard des chiens qui dorment à moitié, les femmes se font vamps , les hommes se font loups. Chacun sa chacune et chacun sont rendez-vous, à l'heure ou l'on ose révéler sa face cachée , aux beautés indomptées. Dans la chaleur des nuits de pleine lune , insomnie, envoûtante. Dans la chaleur des nuits de pleine lune. Dans la chaleur , dans la chaleur des nuits de pleine lune². Loin de là ma tête s’effraye de l’orage, y va de ses leçons et me tient en otage. Mais mon corps obstiné entre dans le dédale, dans la danse tribale s’abandonne et se dévoile, tant que durent les étoiles. Dans la chaleur des nuits de pleine lune, insomnie, envoûtante. Dans la chaleur des nuits de pleines lune.

oui, j'ai renoué avec Pauline Croze.

Je voudrais pouvoir, un jour, procurer cette émotion que je reçois quelque fois.

LAISSER TOMBER.

Mes cheveux sentent la menthe poivrée, si j'avais su je me serai abstenu. Et puis j'ai envie de poster cette citation que j'aime.

2 pages de journal intime, défouloir et citations en tout genre. 


"La vie est rasoir et inutile. Au départ, on est plein de rêves extraordinaires et puis on se retrouve assis dessus. On se rend compte qu’on va tous y passer sans avoir vraiment trouvé les bonnes réponses. On prend au sérieux toutes les théories à cent litres de salive à l’heure et, en fait, c’est nos propre vies qu’ils nous servent mais sous d’autres formes. Et jamais ils nous ont musclés les pattes avec des trucs cohérents sur les vraies grandes choses. En deux mots, ta vie est courte, décevante et ensuite tu meurs. On occupe nos vies avec de la merde, comme les carrières et les relations, pour nous faire croire que tout n’est pas totalement inutile."

C'est rigolo qu'on soit en même temps malheureux, blasés, teigneux, puis contentés. (sans le savoir)

C'est rigolo.

 Aujourd'hui, quand je sens l'air

 j'ai l'impression d'être planquée dans ton cou

 froid.

Être un peu, la blanche neige de la famille.

Quand je ne sais plus quoi dire, du tout. Quand je m'enlise dans des réponses irréfléchies. Quand j'écoute cette enfant jouer à l'adulte. Quand il fait froid, et quand je joue à me cacher derrière mon chat. Quand elle croit trouver un os de dinosaure et quelle murmure des mots en latin. Quand l'envie de me planquer dans un cou me prend. Quand je me dis que c'est ça, la vie. Quand elle chérit ses lunettes qu'elle aime tant. Quand je tremble le soir en toute discrétion. Quand elle parle d'Astérix, de Robert Owen et regrette sa mort. Quand je ne sais plus m'aimer. Quand deux hommes invisibles vont se faire voir. Quand je m'essouffle à vélo, trop en retard. Quand elle joue avec ses marguerites dans les cheveux. Quand je me persuade qu'être comme ça, aussi jeune, ça n'existe pas. Quand elle existe. Quand je m'en vais.

t'es zen ou c'est moi? - "C'est moi."

L'appel matinal de quelqu'un qui vous veut du bien, la télé dans la chambre et la télécommande à porté de main, le bol de céréales dans l'autre. Ce groupe que l'on écoute en boucle parce que c'est ce qu'on fait quand on aime, il parait. On ne compte pas. Ecrire un article de musique, sans savoir décrire. S'appliquer à essayer de transférer la joie. Faire un saut au cinéma, par simple curiosité. Trouver de la photo à la vidéo, et rester jusqu'à la fin du générique, de fin. Avoir les yeux qui piquent un peu. Le temps qui se grise, et le chat sur le lit. Dormir à côté de lui et respirer dans son poil d'hiver. Avoir un coup de mou, tout à coup. Et tomber sous l'aile de quelqu'un, qui vous veut du bien. Qui ne va pas si bien, mais assez pour vous rassurer, et vous bousculer un peu. Qu'il pleuve beaucoup, très fort. Des gouttes photographiées. Ce même repas depuis trois jours. L'appel de la fête foraine, et de la nuit. Un email, sympathique. Une dernière musique, un dernier mail, un dernier article, pour ce soir.

Apprécier les petits bonheurs. 

Transfert.

J'aime pas vos visites. Elles me font culpabiliser, puis plus tard me donnent envie de pleurer. J'aime pas vous accueillir, timide, tout en sachant que je vais encore avoir le droit aux réflexions. Je n'ai pas sa photo apparente, ça ne veut pas dire que je ne pense pas à elle. Oui, B. n'est pas ma mère, mais quand même. La double alliance est là, la photo d'identité dans le cadre ocre et les plumes. Ça fait tellement longtemps, douze ans? Elle est là. Vous ressassez tout, de peur que l'on oublie trop vite. C'est stupide. Vous vous tassez, toutes ridées. Parlez mort et fleurs en plastiques. La vie, pour vous c'est qu'un souvenir, qu'un détail. C'est vivre faute de mourir aussi. Et c'est bien moche de penser ça.

et tu crèveras sous la jalousie dans ton empire de faux espoirs.

Rubik -Dada Bandits.

En fait Rubik, c'est un peu la découverte 

qui vient réchauffer mon petit coeur en mousse.

Ça fait du bien de la pop pareille.

Ma vanité à moi, c'est toi. (Art ticle.)

Inspirations photographiques.

1)Dmon Prunner, 2)Rene & Radka, 3)Miles Adridge, 4)Andy Julia.

I AM IN THE INDUSTRY. YOU ARE IN THE INDUSTRY. WE ARE IN THE INDUSTRY. THIS IS THE INDUSTRY.

UN GRAIN DANS LE CREUX DU DOS.

Il y est de grandes frileuses.

T'ES TROP BONNE.

Je ne sais pas quoi dire.

Ma faute à toi.

Si je vais voir de la daube au ciné. 
Si tu m'accordes ta pitié. 
Si je me sens aussi belle/bien qu'une mouche écrasée sur le par-brise d'une 306 un soir d'été.
Si je m'amour de petites choses, et que ces petites choses c'est trois fois rien.
Si je laisse passer les chances, et que chez moi c'est sur place.
Si je fais semblant de tout prendre à la légère, que je me mens à moi même.
Si je remet ça sur la cause de la raison mais qu'en vrai je la perd trop souvent.

Je vis seule, pas à deux. J'me présente, moi c'est Billie. (et peu m'importe qui)

ENCHANTÉ

Ce jour était le 90 ème plus tard. 

J'avais envie de me promener, dans la voiture, en passager. 

Alors j'suis venue te chercher. 

Au fond c'était égoïste, toi t'arrivais t'étais là. 

Et moi je pleurais en sourdine, sans larmes. Pas pour toi, ni pour rien. Juste un constat. 

J'avais gagné, mais surtout perdu. Beaucoup de temps. 

Ton visage s'est allongé, représentation synthétisée, t'es ovale.

Ta coiffure d'gars de l'armée, ton tee shirt pailleté au placard. 

Ta vie, la mienne et le clébard.

Encore que.

le soleil est assis du mauvais côté de la mer.

Aujourd'hui j'ai décidé de faire un truc con, voilà.