29/05/2010

On pourrait appeller ce billet, ou on pourrait venir le chercher aussi. Un chien, où ça?

    La chambre.


Il fait un temps à sortir dehors et sauter dans les drôles de flaques, inexistantes. A jouer de la clarinette en pyjama. A réfléchir sur combien de fois on a cru trouver nos paires de bras et jambes manquantes. Et à se demander comment ce sera une fois qu'on les aura trouvé, vraiment. Il a trois genres de genres: gays, en couple, non interressé, et peut être même aussi les barges. En clair j'ai pas grand chose/chance. Ca pourrait devenir nul et non avenu si je fais rien, mais de toute façon j'ai rien envie de faire. Il fait un temps à recevoir deux gouttes dans les deux yeux. A écouter tout ces tubes qu'on écoutait quand on était jeune, quand on avait l'âge à se battre pour des coquilles jaune/verte. Il n'est plus l'heure de fricoter avec le passé, plus du tout sauf peut être avec Kaki King et le jazz. Au contraire il est l'heure de faire des planches, et se tâcher en peinture. De plancher sur les révisions du BAC, et de se goinfrer en macarons. De s'abrutir paradoxalement et de porter des antiquités, de piquer les fringues de son père et d'avoir l'air inaccessible. Parce que ça fait bien.

2 commentaires:

Kevin Goreau a dit…

Dans ton cul! Dans ton fantasme! Indie! Un Lama! Un chien! Où ça?

Cunégonde (Ollie) a dit…

J'en étais sûre que tu répondrais :)