26/03/2011

Tu voudrais pleurer un souffle trop faible.

Un malheur dans un bonheur encastré dans un malheur. Les poupées russes. Lourd, très lourd. Un jour on croit me connaitre et puis l'autre non. Mais on y croit quelque fois. Je suis celle qui rougit, trop souvent. Celle qui fait la gueule pour un non. Celle qui se traîne les journées où il fait mal. Sans semblant. Je ne suis pas d'accord. Et il fait bon mais ça me gèle au fond. Gouffre infini, je ne connais pas encore la vie. Mais la vie me regarde, elle, un oeil maladroit, un juda. Je déchire l'écorce de petits bâtons tombés dans l'herbe et maudis le son qu'on certaine voix. Tu vois comment ça fini? Et bien ce n'est pas encore fini (elle me dit) - J'envoie trois lettres amicales, oxymore. Dans ce mot il y a la mort brusque, imminente. Elle m'a poursuit en pleine nuit, puis deux larmes ont coulé simultanément. 23:37 La question qui fâche. A laquelle on répond en allemand, à laquelle il répond, lui, en français. Où voulez vous allez? Je ne comprend pas ce que vous dites. Je ne sais pas moi même où je vais. 

Aucun commentaire: